Video intime: le XV de France discrédite l’accusation de viol

Samedi 14 septembre 2024, l’avocat d’Oscar Jegou et Hugo Auradou s’est exprimé dans les colonnes du Parisien. L’occasion d’évoquer un élément en faveur des rugbymen accusés de viol.


Le destin d’Oscar Jegou et Hugo Auradou est sur le point d’être scellé. Accusés de viol aggravé en Argentine depuis juillet, les deux joueurs de rugby vont bientôt connaître la décision de la justice. En effet, une possible issue en leur faveur sous la forme d’un non-lieu pourrait être prononcée avant la fin du mois.

Le samedi 14 septembre, l’avocat des deux jeunes hommes âgés de 21 ans s’est exprimé dans les pages du Parisien. Antoine Vey a ainsi abordé la possibilité d’un non-lieu en raison des contradictions relevées dans les déclarations de la plaignante. Ces incohérences auraient été renforcées lors de la confrontation avec des éléments concrets.

Une vidéo filmée par Hugo Auradou suggérerait un acte consenti

Pour le défenseur des joueurs de rugby, divers éléments pourraient influencer la décision de la justice. Parmi ceux-ci, le partage d’une vidéo enregistrée dans leur chambre par Hugo Auradou lors d’une fellation. Antoine Vey a indiqué : « Il y a également les témoignages des personnes ayant visionné la vidéo Snapchat, décrivant un acte consenti, non violent ».

Selon l’avocat, la diffusion de cette vidéo permettrait de mieux appréhender l’état d’esprit du sportif pendant la soirée. Il a ajouté : « Une personne qui aurait agressé une femme ne se filmerait pas sur Snapchat pour le montrer à ses amis. Dans l’esprit d’Auradou, s’il a fait cela, c’est plutôt parce qu’il passait un bon moment« .

Plusieurs preuves soutiendraient Oscar Jegou et Hugo Auradou

Outre la vidéo Snapchat, les enregistrements des caméras de surveillance iraient également à l’encontre des allégations de la plaignante. Celle-ci aurait affirmé avoir été forcée d’entrer et de rester dans la chambre. Cependant, elle aurait été filmée en train d’embrasser Hugo Auradou dans l’ascenseur puis d’attendre devant sa chambre. Oscar Jegou serait ensuite rentré de manière naturelle dans la pièce.

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Pour Antoine Vey, ces vidéos constitueraient ainsi une preuve initiale de l’innocence de ses clients : « En se basant sur les vidéos, il semble clair qu’il ne s’agissait ni d’une femme contrainte d’entrer dans la chambre, ni d’une simple visite. Avant même de savoir ce qui s’est passé à l’intérieur, la crédibilité de cette femme est remise en cause car elle aurait raconté des faits qui ne correspondent pas à la réalité« .

Le destin d’Oscar Jegou et Hugo Auradou est sur le point d’être scellé. Accusés de viol aggravé en Argentine depuis juillet, les deux joueurs de rugby vont bientôt connaître la décision de la justice. En effet, une possible issue en leur faveur sous la forme d’un non-lieu pourrait être prononcée avant la fin du mois.

Le samedi 14 septembre, l’avocat des deux jeunes hommes âgés de 21 ans s’est exprimé dans les pages du Parisien. Antoine Vey a ainsi abordé la possibilité d’un non-lieu en raison des contradictions relevées dans les déclarations de la plaignante. Ces incohérences auraient été renforcées lors de la confrontation avec des éléments concrets.

Une vidéo filmée par Hugo Auradou suggérerait un acte consenti

Pour le défenseur des joueurs de rugby, divers éléments pourraient influencer la décision de la justice. Parmi ceux-ci, le partage d’une vidéo enregistrée dans leur chambre par Hugo Auradou lors d’une fellation. Antoine Vey a indiqué : « Il y a également les témoignages des personnes ayant visionné la vidéo Snapchat, décrivant un acte consenti, non violent ».

Selon l’avocat, la diffusion de cette vidéo permettrait de mieux appréhender l’état d’esprit du sportif pendant la soirée. Il a ajouté : « Une personne qui aurait agressé une femme ne se filmerait pas sur Snapchat pour le montrer à ses amis. Dans l’esprit d’Auradou, s’il a fait cela, c’est plutôt parce qu’il passait un bon moment« .

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Plusieurs preuves soutiendraient Oscar Jegou et Hugo Auradou

Outre la vidéo Snapchat, les enregistrements des caméras de surveillance iraient également à l’encontre des allégations de la plaignante. Celle-ci aurait affirmé avoir été forcée d’entrer et de rester dans la chambre. Cependant, elle aurait été filmée en train d’embrasser Hugo Auradou dans l’ascenseur puis d’attendre devant sa chambre. Oscar Jegou serait ensuite rentré de manière naturelle dans la pièce.

Pour Antoine Vey, ces vidéos constitueraient ainsi une preuve initiale de l’innocence de ses clients : « En se basant sur les vidéos, il semble clair qu’il ne s’agissait ni d’une femme contrainte d’entrer dans la chambre, ni d’une simple visite. Avant même de savoir ce qui s’est passé à l’intérieur, la crédibilité de cette femme est remise en cause car elle aurait raconté des faits qui ne correspondent pas à la réalité« .

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