Marie Patouillet a apporté un souffle glacial sur le plateau de Quels Jeux !, et sa présence a profondément marqué Léa Salamé le 6 septembre en direct.
Un vent glacial a soufflé sur le plateau de l’émission Quels Jeux ! ce vendredi 6 septembre sur France 3. Marie Patouillet, figure emblématique de la cause LGBTQI+, a abordé son combat contre les discriminations persistantes dans le monde du sport de haut niveau. Lorsqu’elle a évoqué sa coloration aux couleurs du drapeau LGBT lors des championnats du monde, l’athlète française a souligné les règles strictes en vigueur pendant les Jeux.
Après avoir célébré sa victoire à l’épreuve de cyclisme sur piste poursuite individuelle (3000 m) C5 avec un baiser à sa femme Soraya, la médaillée d’or a exprimé sa volonté de sensibiliser sur les combats contre les discriminations, l’homophobie et la transphobie qui persistent encore trop souvent dans le sport de haut niveau. Elle a souligné la nécessité d’instaurer des changements et de déconstruire les stéréotypes.
Léa Salamé et Marie Patouillet, des figures engagées contre le sexisme
Au-delà de son engagement en faveur de la cause LGBTQI+, Marie Patouillet est également activement impliquée dans la lutte pour la place des femmes dans le sport. La championne a noté des progrès depuis les Jeux Olympiques de Tokyo, mais a évoqué une certaine amertume liée à la persistance du sexisme. Elle a souligné l’absence de femmes titrées paralympiques à Tokyo comme étant le fruit d’inégalités au sein des environnements de performance.
Léa Salamé a partagé sa douleur en évoquant le tragique décès d’une athlète de retour des Jeux Olympiques de Paris. La journaliste a tenu à rendre hommage à la coureuse Rebecca Cheptegei, brutalement brûlée vive par son ex-compagnon au Kenya devant ses enfants. La sportive originaire d’Ouganda n’a pas survécu à ses blessures, laissant derrière elle une nouvelle victime de féminicide.
Avant Marie Patouillet, Léa Salamé également confrontée au sexisme
Le sexisme transcende le monde du sport de haut niveau. En 2020, Léa Salamé avait révélé à Yann Barthès dans Quotidien avoir été elle-même victime de discriminations. Elle a partagé une expérience vécue huit ans auparavant, où un responsable de chaîne d’information avait exprimé des propos sexistes à son encontre, démontrant les préjugés persistants dans le milieu journalistique.
Cette anecdote a marqué Léa Salamé, qui a dénoncé publiquement ce comportement regrettable et illustré le combat nécessaire contre le sexisme et les discriminations, quel que soit le domaine professionnel. Le chemin vers l’égalité des genres reste semé d’embûches, mais la voix de ces femmes inspirantes continue de porter la cause.
Un vent glacial a soufflé sur le plateau de l’émission Quels Jeux ! ce vendredi 6 septembre sur France 3. Marie Patouillet, figure emblématique de la cause LGBTQI+, a abordé son combat contre les discriminations persistantes dans le monde du sport de haut niveau. Lorsqu’elle a évoqué sa coloration aux couleurs du drapeau LGBT lors des championnats du monde, l’athlète française a souligné les règles strictes en vigueur pendant les Jeux.
Après avoir célébré sa victoire à l’épreuve de cyclisme sur piste poursuite individuelle (3000 m) C5 avec un baiser à sa femme Soraya, la médaillée d’or a exprimé sa volonté de sensibiliser sur les combats contre les discriminations, l’homophobie et la transphobie qui persistent encore trop souvent dans le sport de haut niveau. Elle a souligné la nécessité d’instaurer des changements et de déconstruire les stéréotypes.
Léa Salamé et Marie Patouillet, des figures engagées contre le sexisme
Au-delà de son engagement en faveur de la cause LGBTQI+, Marie Patouillet est également activement impliquée dans la lutte pour la place des femmes dans le sport. La championne a noté des progrès depuis les Jeux Olympiques de Tokyo, mais a évoqué une certaine amertume liée à la persistance du sexisme. Elle a souligné l’absence de femmes titrées paralympiques à Tokyo comme étant le fruit d’inégalités au sein des environnements de performance.
Léa Salamé a partagé sa douleur en évoquant le tragique décès d’une athlète de retour des Jeux Olympiques de Paris. La journaliste a tenu à rendre hommage à la coureuse Rebecca Cheptegei, brutalement brûlée vive par son ex-compagnon au Kenya devant ses enfants. La sportive originaire d’Ouganda n’a pas survécu à ses blessures, laissant derrière elle une nouvelle victime de féminicide.
Avant Marie Patouillet, Léa Salamé également confrontée au sexisme
Le sexisme transcende le monde du sport de haut niveau. En 2020, Léa Salamé avait révélé à Yann Barthès dans Quotidien avoir été elle-même victime de discriminations. Elle a partagé une expérience vécue huit ans auparavant, où un responsable de chaîne d’information avait exprimé des propos sexistes à son encontre, démontrant les préjugés persistants dans le milieu journalistique.
Cette anecdote a marqué Léa Salamé, qui a dénoncé publiquement ce comportement regrettable et illustré le combat nécessaire contre le sexisme et les discriminations, quel que soit le domaine professionnel. Le chemin vers l’égalité des genres reste semé d’embûches, mais la voix de ces femmes inspirantes continue de porter la cause.