Le 16 septembre dernier, P. Diddy a été arrêté et doit désormais faire face aux conséquences de ses actes. Les perquisitions effectuées dans ses maisons ont révélé des éléments compromettants qui le mettent dans une situation délicate.

Les autorités ont découvert, selon un acte d’accusation consulté par Page Six, plus de 1 000 bouteilles de lubrifiant et trois fusils d’assaut AR-15 dans les résidences du rappeur à Miami et à Los Angeles. La découverte de ces fournitures Freak Off, notamment des stupéfiants, a mis en lumière des pratiques troublantes.

P. Diddy : des révélations alarmantes lors des perquisitions

Les employés de P. Diddy ont reçu des instructions claires pour nettoyer les chambres d’hôtel utilisées lors de soirées libertines organisées par le chanteur. Le but était de limiter les dommages mais aussi d’organiser le voyage des victimes, de commander des liquides intraveineux et de payer les ‘travailleuses du sexe commerciales’ sur ordre de P. Diddy.

P. Diddy a admis avoir commis des actes violents en frappant, donnant des coups de pied, lançant des objets et traînant ses victimes par les cheveux. L’acte d’accusation souligne que le chanteur a soumis ses victimes à des violences physiques, émotionnelles et verbales pour les inciter à commettre des actes de violence.

Reconnaissance des violences par le rappeur

En plus des violences physiques, P. Diddy avait un contrôle psychologique sur ses victimes en les intimidant par des promesses de carrière, du soutien financier ou des menaces. Les victimes se trouvaient ainsi dans l’incapacité de refuser les demandes du chanteur sans mettre en péril leur sécurité financière, professionnelle ou sans risquer des représailles sous forme de violence physique ou émotionnelle.

Ces révélations mettent en lumière une facette sombre de la vie de P. Diddy et soulèvent des questions sur son comportement et ses actions.