Sur le plateau de TPMP sur C8, Gilbert Montagné a exprimé sa tristesse concernant son absence aux obsèques de Johnny Hallyday.
Une tristesse persistante. Lors de son passage à l’émission Touche pas à mon poste sur C8, Gilbert Montagné a évoqué son ami, Johnny Hallyday. « Johnny est le meilleur interprète que la France ait connu. C’est ce que je pense vraiment. » a-t-il déclaré, visiblement ému.
Il est ensuite revenu sur les funérailles de Johnny Hallyday et sur son absence. « Johnny me manque énormément, vraiment. » a-t-il confié sur RTL en 2022. “C’est lui qui m’a donné envie de chanter… Lui et Eddy Mitchell, du moins pour les Français. »
Gilbert Montagné n’était pas présent aux obsèques
Au sujet de son absence aux obsèques, Gilbert Montagné en a parlé avec Cyril Hanouna. « Ça m’a beaucoup attristé de ne pas avoir été invité à la cérémonie funéraire. Je pensais que cela aurait été correct. » a-t-il expliqué, avant d’ajouter « Mais ce n’est pas grave, ce n’est pas grave du tout. »
En effet, Laeticia Hallyday ne l’a pas convié. « Je vais te dire franchement, je ne voulais pas t’en parler, mais je dois avouer que j’ai été surpris de ne pas te voir et que tu n’aies pas été invité. » a répondu l’animateur. Effectivement, Gilbert Montagné n’était pas présent aux funérailles du rockeur en 2017, contrairement à plusieurs célébrités invitées par Laeticia Hallyday.
Qui était présent aux obsèques de Johnny Hallyday?
Lors de la cérémonie qui s’est déroulée à l’église de la Madeleine dans le 8ème arrondissement de Paris, de nombreuses stars ont assisté aux funérailles de Johnny Hallyday. Jean Reno, Marion Cotillard, Nolwenn Leroy, Line Renaud, Guillaume Canet, Matthieu Chedid, Muriel Robin, Gilles Lellouche, Claire Chazal, Michel Drucker et bien d’autres étaient présents.
Plusieurs personnalités ont pris la parole, dont le président de la République, Emmanuel Macron. « Parce que Johnny était bien plus qu’un chanteur, il représentait la vie dans ce qu’elle a de majestueux, d’éblouissant, de généreux. » a déclaré le président. « Il était une partie de nous-mêmes, une partie de la France. Le fait que ce jeune Belge ayant décidé d’adopter un nom de scène anglo-saxon soit allé chercher si loin le blues de l’âme noire américaine, le rock’n’roll de Nashville pour le faire aimer aux quatre coins du pays, était extrêmement improbable. Et pourtant, c’est un destin français. »