🌟 Fidèle à sa réputation de provocateur, le prince Harry a une fois de plus fait parler de lui lors de son récent séjour à New York.
Le 22 septembre dernier, Harry a profité d’une escapade à New York sans Meghan Markle. Invité à une soirée mondaine organisée par l’Organisation Mondiale de la Santé en l’honneur des survivants des violences infantiles, le prince a croisé plusieurs têtes couronnées, dont la reine Mathilde de Belgique, selon les informations du journal britannique The Express. Toujours fidèle à sa réputation, le prince n’a pas manqué de provoquer sa famille une fois de plus.
Le prince Harry, spécialiste de la provocation
💥 Prince Harry : quelle provocation aurait-il commise cette fois-ci ?
Une vidéo postée sur le réseau social X (anciennement Twitter) a semé le doute sur le programme de Harry à New York. On y voit le prince sortir d’une célèbre boutique de tatouage, East Side Ink. Le propriétaire du magasin, interrogé par PEOPLE, a refusé de donner des détails sur cette visite d’une heure et demie.
Le prince n’est pas le premier membre de la famille royale à se faire tatouer. Sa cousine, Eugénie, a un petit tatouage en forme de cercle derrière l’oreille gauche, tandis que quatre ornent le corps d’Amelia Windsor. Qui a dit que Harry était le seul provocateur dans la royauté britannique ?
👑 Prince Harry : trop provocateur pour revenir à Londres ?
Cela fait bientôt cinq ans que le prince Harry a renoncé à son titre d’altesse royale. Selon un expert, Buckingham Palace refuse toujours de lui accorder un emploi « à temps partiel ». Malgré cela, certains Britanniques appellent à un accord entre le duc de Sussex, Meghan Markle et la Firme, qui s’oppose fermement à tout retour en grâce.
« La situation des relations familiales brisées ne peut pas et ne doit pas perdurer pour le bien de la monarchie. Il est temps de trouver un compromis. Cette impasse ne peut plus durer. Les gens commencent à s’impatienter face à l’absence d’efforts pour résoudre les choses », a déclaré un spécialiste de la royauté à Tatler.
Le prince William semble pourtant ne pas être prêt à enterrer la hache de guerre avec son frère.
Le 22 septembre dernier, Harry s’est offert une virée à New York sans Meghan Markle. Muni de son carton d’invitation, le prince a participé à une soirée mondaine organisée par l’Organisation Mondiale de la Santé en l’honneur des survivants des violences infantiles.
Plusieurs têtes couronnées avaient également fait le déplacement. Nos confrères britanniques de The Express rapportent que le fils de Charles III a notamment échangé quelques mots la reine Mathilde de Belgique. Fidèle à sa réputation, le « Suppléant » n’aurait pu s’empêcher de provoquer à nouveau sa famille lors de son escapade.
Le prince Harry, spécialiste de la provocation
Prince Harry : à quelle provocation aurait-il succombé ?
Une vidéo relayée sur le réseau X (anciennement connu sous le nom de Twitter) laisser planer le doute sur l’agenda newyorkais de Harry. On y voit le prince sortir de la boutique d’un très célèbre tatoueur, East Side Ink. Interrogé par nos confrères de PEOPLE, le propriétaire du magasin refuse d’apporter des détails sur cette visite longue d’une heure et demie.
Le prince ne serait pas le premier membre de la famille royale à se faire tatouer. Sa cousine, Eugénie, en possède un petit en forme de cercle derrière son oreille gauche, contre quatre sur le corps d’Amelia Windsor. Qui a dit que Harry était le seul provocateur de la couronne britannique ?
Prince Harry : trop provocateur pour revenir à Londres ?
Voilà bientôt cinq ans que le prince Harry a décidé de renoncer à son titre d’altesse royale. Selon un expert, Buckingham Palace ne souhaite toujours pas accorder un emploi « à temps partiel » au Suppléant. Des Britanniques appellent malgré tout à un accord passé entre le duc de Sussex, sa femme Meghan Markle et la Firme, fermement opposée à un retour en grâce.
« Le statu quo des liens familiaux brisés ne peut
pas et ne doit pas continuer pour le bien de la monarchie.
Ils doivent trouver un compromis. Cette impasse ne peut
plus durer. Les gens vont s’impatienter de voir que
personne n’essaie d’arranger les choses », résume un
spécialiste en royautés dans les colonnes de Tatler.
Le prince William n’aurait pourtant toujours
pas l’intention d’enterrer la hache de guerre avec son frère.
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