Un incident s’est produit lors de l’émission Touche pas à mon poste ce mardi 24 septembre. Guillaume Genton et Fabrice Di Vizio ont réglé leurs différends en direct.
Tout est parti d’un simple tweet.
Guillaume Genton a fait des déclarations remarquées en mentionnant ses pertes financières antérieures. Ces propos ont circulé sur les réseaux sociaux, et Fabrice Di Vizio a commenté en disant simplement : « Ça doit être ça qu’on appelle des problèmes de riches ! ». Ainsi, lors de sa participation à l’émission Touche pas à mon poste le mardi 24 septembre, les deux hommes ont réglé leurs différends en direct. “Vous avez un problème avec les riches ?”, interroge d’abord Guillaume Genton, désireux d’obtenir des explications.
La discussion a débuté dans le calme. “Je n’ai aucun problème avec les riches”, affirme le principal intéressé, avant de poursuivre : “Mais apparemment vous avez un problème avec la richesse vu ce que vous avez fait de votre fric”. Cela a immédiatement provoqué une réaction de Guillaume Genton, qui demande : « Vous vous permettez de juger si on a bien dépensé notre argent ou non ? ». L’avocat répond à son tour : « En fait, je me fiche complètement de votre vie. Cela s’appelle la liberté d’expression… ». La discussion se poursuit avec Guillaume Genton ajoutant : « Moi je n’ai rien contre les riches mais ces tweets aigris…”.
Guillaume Genton : “Je suis très heureux”
Guillaume Genton continue le débat en mentionnant un site qui expose les chiffres d’affaires des entreprises. “Le vôtre a réalisé plus de 139 600 euros de chiffre d’affaires. Vous avez également bien profité de cela”, lance-t-il avant de poursuivre : “Jamais je n’ai pleurniché, je ne me suis pas plaint, je suis conscient d’être un privilégié, j’ai commis des erreurs, j’ai refait ma vie, je reprends les transports en commun, je suis très heureux, je suis avec ma femme et mon enfant. Que venez-vous tweeter ? ». Cela a suscité une réaction de Fabrice Di Vizio qui s’est notamment moqué du fait de reprendre le métro. “Ah, si vous prenez le métro, alors c’est une fête. Vous prenez le métro ? Vous réalisez vos paroles ? Je me fiche complètement de votre vie à moi”, assure l’avocat.
Fabrice Di Vizio aborde à nouveau la liberté d’expression, mentionnant qu’il se moque si Guillaume Genton est touché par son message. De son côté, le principal intéressé affirme que ce n’est pas le cas, ce qui amuse les chroniqueurs. “Ce que je n’apprécie pas, c’est que je vous ai admiré pendant le covid. Je croyais que nous étions quand même amis”, explique Guillaume Genton avant d’ajouter : “Si nous sommes trop bêtes, allons sur Arte”. Fabrice Di Vizio affirme que les deux hommes ne sont pas amis. La tension monte et c’est Kelly Vedovelli qui intervient, soulignant que lorsque l’on sait que les choses peuvent mal tourner, nous ne prenons pas la parole.
Guillaume Genton : une explication très commentée
Lors de ce clash, Cyril Hanouna était au spectacle et attendait “une petite tasse de lait chaud”, conscient que cette scène n’était pas nécessaire. Tout est parti d’un simple message, car la veille, Guillaume Genton est revenu sur les soucis financiers auxquels il a dû faire face. “Je n’ai pas honte de le dire, j’ai perdu 3 ou 4 millions d’euros dans des bêtises !”, a-t-il d’abord affirmé avant de fournir plus d’explications. “Quand vous êtes un jeune homme… Je viens de la province, je n’avais pas d’amis, pas beaucoup de petites amies, on ne s’intéressait pas à moi. Et tout à coup, vous avez de l’argent, tout le monde veut être votre ami”, a-t-il poursuivi.
Guillaume Genton a été franc, évoquant une période où il a pleinement profité. “Vous dépensez, vous faites n’importe quoi, vous êtes grisés… J’ai fini avec 2 Lamborghini, 1 Porsche, 3 appartements en location. Je gagnais 100, je dépensais 150″, a-t-il conclu. Une révélation qui a suscité beaucoup de réactions de la part de Fabrice Di Vizio, qui a qualifié cette situation de “problèmes de riches”. Cela a incité Guillaume Genton quelques heures plus tard à vouloir des explications. Un clash que les internautes ont qualifié de “moment vide”.