Accusation de trafic sexuel: Rihanna révèle les mots de P. Diddy

Rihanna réagit aux accusations sur P. Diddy et ses fameuses soirées. Sa réponse a beaucoup fait parler sur les réseaux sociaux, suscitant des interrogations sur la chanteuse.


C’est l’affaire médiatique qui secoue actuellement les Etats-Unis. Depuis son arrestation le 16 septembre à New York, P. Diddy fait beaucoup parler de lui : neuf nouvelles plaintes ont été déposées contre lui ces dernières semaines. Au total, 120 nouvelles plaintes l’accusent d’agressions sexuelles.

Plus choquant, un enfant de 9 ans l’accuse de l’avoir drogué et violé. Et de nombreuses stars sont allées aux soirées de P. Diddy, comme Ashton Kutcher qui décrivait dans une interview Hot Ones : « J’ai beaucoup de choses que je ne peux pas dire. (…) Je ne peux pas raconter celle-là non plus… En fait, je les passe en revue dans ma tête. Les soirées chez Diddy, mec, c’était un retour bizarre dans le passé. »

Rihanna: sa réaction surprend

Questionnée sur sa présence aux soirées de P. Diddy à la sortie d’un restaurant italien à Los Angeles, Rihanna a suscité l’attention. Interrogée sur les ‘freak-off’, la chanteuse a répondu avec un sourire et des rires : « C’est dingue (that’s crazy). » Sa réaction a enflammé les réseaux sociaux, soulevant des questions sur sa position vis-à-vis de cette affaire aux allures sordides.

Réactions partagées

Les réactions des internautes se multiplient suite à la vidéo de Rihanna. Certains la jugent suspecte : « Elle a participé c’est sûr elle veut juste pas s’exprimer de sujet. », « elle me déçoit. » ou encore « Bien sûr que oui et j’espère qu’elle va tomber aussi ! Les fans sont vraiment naïfs c’est incroyable. ». D’autres soutiennent la chanteuse : « Nan Riri est pas dans ce genre de délire », « Qu’il pose la question à Jay Z plutôt » ou encore « Rihanna a eu l’air sidéré quand on lui a parlé des soirées de Diddy. Franchement, même moi j’étais gêné pour eux ». Un internaute a également apporté un éclairage sur les soirées du producteur et rappeur, soulignant qu’il ne faut pas généraliser les participants aux pratiques douteuses qui s’y déroulent.

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